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Les peintures de Jean-Claude Baron au Moulin

Château du Bouchet

Jean-Claude Baron expose ses tableaux au Moulin de Mézières, jusqu’au 24 novembre prochain. Comme l’a souligné Hélène Andrew-Peraldi, lors du vernissage de l’exposition : « Celui qui reçut le prix du Moulin lors du 35ème Salon des peintres de la Brenne, nous invite à voyager avec lui et à découvrir au détour du chemin des pépites architecturales »
Car, s’il a déclaré « aimer tout ce qui a vécu, ce qui reste de l’âme humaine, paysages, vieilles pierres, sites industriels », c’est bien le bâti et les détails architecturaux qui l’inspirent le plus et qu’il restitue avec une très grande authenticité. Dès le premier coup d’œil, on est saisit par la précision du trait, la netteté des couleurs, la reproduction parfois presque photographique des maisons, des églises, des châteaux, de tout ce qui fait la beauté des villages de la région : Saint-Sévère, Saint-Benoit-du-Sault, le château du Bouchet et bien d’autres lieux emblématiques. L’exposition nous entraîne également au cœur de départements proches ou plus éloignés pour découvrir par exemple, un quartier de Montmorillon, dans la Haute-Vienne voisine ou Saint-Igest en Aveyron.
Né en 1956 dans l’Indre, Jean Claude Baron a, dès l’enfance, aimé jouer du pinceau. Il ne renouera avec cette passion qu’au moment de la retraite en raison d’une vie professionnelle de commerçant bien remplie. Artiste autodidacte, Jean Claude Baron ressent la peinture comme un besoin vital et y consacre, désormais, une grande partie de son temps. Il se met à la peinture en 2017 et, a réalisé depuis, 450 tableaux de différents formats. Son médium de prédilection est la peinture acrylique qu’il travaille exclusivement au pinceau même s’il n’exclut pas de se servir de d’autres outils. Jean Claude Baron. peint aussi bien en extérieur que dans son atelier d’après les photos qu’il a prises.

Montmorillon. Pêche sous le pont

Il invite le public a effectuer en quelques pas, une belle visite touristique, témoignage sans doute de son propre plaisir de se promener, comme l’a rappelé Hélène : « Avec sa femme, Marie Christine, ils ont toujours aimé sillonner les routes de l’Indre et d’ailleurs, depuis leur fief de Prissac ».

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